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Twitter censure une discussion sur la domination des athlètes «trans» dans le sport féminin

Un fil Twitter intitulé « Les athlètes transgenres et leur domination dans les sports féminins » a été censuré, en raison de la pression antidémocratique des partisans de l’idéologie transgenre. Ils sont de véritables inquisiteurs, menant un combat acharné pour la négation de la nature.

S’il y a bien un endroit où l’idéologie transgenre montre sa supercherie, c’est dans le sport. En effet, la différence entre les femmes et les hommes y est très marquée et dès le début du sport, les femmes ont exigé de pouvoir concourir entre elles (s’affrontant au passage aux réactionnaires tel le Baron Pierre de Coubertin leur interdisant la compétition).

Le sport féminin est une exigence démocratique évidente, afin que les femmes puissent s’exprimer et s’épanouir tout autant que les hommes dans la compétition sportive. Les différences entre les hommes et les femmes sont faibles et quasi insignifiantes dans la vie de tous les jours. Mais elles sont déterminantes en ce qui concerne la performance sportive et il n’y a donc pas d’équité en ce domaine, surtout dans le sport de haut niveau où tout se joue à des détails.

De fait, les femmes et les hommes ont une anatomie et une physiologie différentes qui fait que les seconds sont avantagés pour la plupart des performances physiques, en raison surtout de la capacité développer de la puissance (qui est la synthèse entre la force et la vélocité).

Il ne s’agit pas simplement d’hormones, mais de différences naturelles intrinsèques fondamentales qui sont impossibles à changer – la mutilation chimique à l’aide d’hormones n’y change rien. Cela tient à l’organisation de la structure osseuse, à la masse graisseuse, à la masse musculaire, à la taille du cœur ou encore au taux d’hémoglobine. Ces deux derniers aspects sont d’ailleurs fondamentaux : les femmes n’ont pas seulement moins de musculature que les hommes, elles ont aussi une moindre capacité à la mobiliser en raison de moindres volumes d’oxygène transportés.

N’importe qui connaissant un minimum le sport sait à quel point cette donnée, que l’on mesure par la Vo2 max (la capacité maximale du volume respiratoire), est fondamentale. Cela n’est pas vrai seulement pour les sports très physiques comme l’athlétisme ou le cyclisme, c’est également déterminant dans les sports plus techniques comme le football ou le tennis.

Ainsi, par exemple, les meilleures joueuses de tennis du monde peuvent se retrouver facilement en difficulté face à un tennisman bien plus faible techniquement, car ce dernier a un avantage physique énorme qui se matérialise par plus de force et de vitesse (et inversement, moins de fatigue accumulée pour répondre aux coups de l’adversaire).

Il y a aussi une élasticité ligamentaire qui est différente, et qui en l’occurrence se matérialise par un avantage pour les femmes dans les sports nécessitant de la souplesse comme le patinage ou la gymnastique.

Toutes ces différences posent un problème énorme aux partisans de l’idéologie transgenre, car cela nécessite de reconnaître la nature, la réalité naturelle des organismes. Or, de la nature, les partisans de l’idéologie transgenre n’en veulent surtout pas. Tout comme les religions, ou plutôt, dans le prolongement de l’idéologie réactionnaire des religions, les partisans de l’idéologie transgenre prétendent qu’il existe une « âme » préalable au corps naturel.

Ils défendent cette idée aussi absurde et réactionnaire que la possibilité d’être né dans le « mauvais corps ». Comme les religieux, ils affirment qu’une personne existerait préalablement à son « incarnation » physique dans un corps…

C’est ainsi que ces gens nient la réalité naturelle au point d’accepter que des hommes puissent prétendre être des femmes… Et donc concourir dans des compétitions sportives féminines !

C’est un véritable scandale, une agression envers les femmes, car ces hommes, bien qu’ils se mutilent parfois avec des traitements hormonaux, restent fondamentalement des hommes et ne peuvent pas concourir de manière équitable contre des femmes. C’est ni plus ni moins que de la triche.

Une telle triche parait aberrante, et pourtant cela existe. Il y a en effet des hommes de part le monde qui réussissent à concourir avec des femmes, pour la simple raison qu’ils prétendent être des femmes !

C’est ce qu’a rappelé dans un fil Twitter le compte Histoire & Thread, en présentant quelques exemples significatifs, de manière tout à fait factuelle. Mais cela est de trop pour les partisans acharnés de l’idéologie transgenre qui, à l’instar des religieux, mènent une véritable inquisition sur ce réseau social. En l’occurrence, leur acharnement a payé et a conduit à la censure par Twitter, soit disant en raison des lois françaises.

Montrer de simple fait : cela est déjà de trop pour les partisans de l’idéologie transgenre, qui se savent ébranlés dans leurs croyances par la simple présentation de la réalité.

Voici une reproduction de ce fil Twitter, qui montre des situations très révoltantes, qu’il faut bien entendu dénoncer. Aucune société démocratique ne peut accepter de voir des hommes venir ainsi s’immiscer dans les compétitions sportives des femmes.

 » Thread : Les athlètes transgenres et leur domination dans les sports féminins.

CeCe Telfer née Craig Telfer fait 57.53 secondes aux 400m haie et pulvérise le record universitaire féminin des États-Unis. Avant traitement hormonal en 2018 elle ne figurait pas parmis les 200 meilleurs coureurs hommes universitaires.

Laurel Hubbard née Gavin Hubbard, une femme transgenre mesurant 1m85 pour 131 kg, remporte les Championnats d’Haltérophilie d’Océanie 2017 en +90 kg en écrasant toutes les athlètes avec notamment une énorme différence de 19 kg sur la deuxième.

Sa participation chez les femmes étant vivement critiquée, Hubbard répond dans les médias : « Je ne crois pas qu’il y ait une différence fondamentale entre moi et les autres athlètes, et suggérer qu’il y en a une est humiliant pour elles. »

Boyd Burton, vétéran de l’US Navy est devenu Fallon Fox en 2006. Combattante de MMA transgenre classée parmis les femmes, elle affronte en 2014 Tamikka Brents qu’elle écrase en 2 minutes lui infligeant une commotion cérébrale et une fracture de l’os orbital.

Après le combat Brents déclare que malgré le nombre importants de femmes qu’elle a combattu dans sa carrière elle ne s’était jamais sentie autant dominée physiquement dans un combat, elle ajoute qu’elle ne pense pas que ça soit une bonne chose que Fox combatte parmis les femmes.

Andraya Yearwood, un lycéen de 15 ans se sentant femme est autorisé à courir parmis les femmes lors du championnat universitaire du Connecticut alors qu’il n’a jamais commencé le moindre traitement hormonal.

Il remporte l’or au 100m et au 200m alors même que son temps l’aurait classé dernier parmis les garçons. Kate Hall, la jeune femme arrivée en deuxième position a déclarée après la course se sentir frustré et ne pas oser dire ce qu’elle pense réellement.

Hannah Mouncey née Callum Mouncey, est une handballeuse transgenre de 1m88 pour 100 kg, ne sortant pas du lot parmis les hommes elle devient néanmoins la meilleure joueuse de la saison parmis les femmes et qualifie l’Australie pour les championnats du monde de Handball 2019.

Elle ne sera pourtant pas sélectionnée pour y participer, d’après Mouncey c’est ses coéquipières qui en aurait fait la demande, elles ne se sentiraient pas à l’aise avec elle, notamment au moment de se déshabiller dans les vestiaires et les douches.

Mary Gregory, une haltérophile transgenre remporte 9 victoires sur 9 exercices en pulvérisant au passage 4 records du monde féminin lors d’un concours de la Raw Weightlifting Federation USA, une performance qui fait polémique.

L’ancienne nageuse olympique Sharron Davies déclare : « Un corps masculin avec une physiologie masculine qui établit un record du monde et gagne un événement féminin en powerlifting en Amérique. Une femme ne peut pas rivaliser, c’est une mise en compétition injuste et inutile. »

Kelly Holmes, double championne olympique, a elle aussi commentée la performance de Mary Gregory en déclarant : « C’est une putain de blague, tout le monde devraient s’attendre à ce que les femmes biologiques boycottent certaines compétitions. »

Rachel McKinnon, une cycliste transgenre remporte la médaille d’or au sprint lors des championnats du monde féminin de cyclisme sur piste 2019 en ayant au préalable pulvérisé le précédent record féminin lors des épreuves qualificatives.

McKinnon déclare à Skynews que ce serait injuste qu’elle soit écartée de la compétition à cause de sa différence et qu’une vraie championne ne devrait pas avoir peur de se confronter à elle.

L’association Save Women’s Sport est un collectif de femmes athlètes dénonçant le manque d’équité entre les femmes dites « transgenres » et les femmes dites « biologiques » physiquement désavantagées.

Paula Radcliff, détentrice du record du monde du marathon féminin depuis 2003 demande un durcissement de la réglementation permettant aux femmes transgenres de courir parmis les femmes.

Martina Navratilova, ancienne n°1 mondiale de tennis, s’était fermement opposée à la participation des femmes transgenres aux compétitions féminines, comparant celà à de la tricherie et de l’injustice avant de présenter ses excuses publiquement.

Et selon-vous ? Les femmes transgenres devraient-elles être autorisées à concourir avec les femmes biologiques ? N’hésitez pas à me follow si vous souhaitez d’autres Thread les amis. 👍 Le sondage a été signalé et les votes ont été bloqués. 🤔 Le Thread a également été signalé, il est désormais plus possible de le Rt. 🤔 Mon Thread a été signalé sans réelles raisons, il avait pour but d’informer sans pour autant attiser la haine ni être insultant. C’est la censure exacerbée qui attise la haine. « 

2 réponses sur « Twitter censure une discussion sur la domination des athlètes «trans» dans le sport féminin »

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