L’OTAN va donc décider de porter le nombre de soldats de sa « force de réaction » de 40 000 à 300 000 soldats. C’est exactement le nombre qu’il faut pour une guerre avec la Russie et personne ne peut comprendre les choses autrement. Le but est d’utiliser l’Ukraine jusqu’au bout, comme chair à canon pour affaiblir la Russie au maximum… Pour dans un second temps passer à l’offensive anti-russe. Le nouveau chef d’état-major britannique dit d’ailleurs ouvertement qu’il y aura une guerre sur le continent, que ce sera avec la Russie.
Il n’y a dans un tel contexte que trois possibilités : soutenir le bellicisme, prendre un billet d’avion pour Katmandou ou Buenos Aires, ou combattre la guerre avec tous les risques personnels que cela implique. On peut également rester passif mais ce n’est pas une option, car dès qu’on a compris l’ampleur du désastre, on ne peut pas rester de côté. L’Histoire impose des choix à tout un chacun et comme on dit elle ne repasse pas les plats.