Ayant pourtant démilitarisé depuis plusieurs années, le FLNC dit du « 22 octobre » a revendiqué l’attaque des villas illégales de l’homme d’affaires Pierre Ferracci. Il dénonce une prise de contrôle de la Corse par cinquante entrepreneurs ainsi que la grande distribution. C’est que le risque d’une bétonisation au service des riches et dans un esprit mafieux, comme en Côte d’Azur, plane dangereusement sur l’île.
Voici le communiqué du FLNC dit du « 22 octobre », suivi de la prise de position de Corsica Libera. Cette dernière est très agressive dans son expression, sans doute en raison de la profonde angoisse du véritable mur d’indifférence de la part de l’État français auquel font face les mouvements corses ayant choisi une institutionnalisation afin de faire avancer les choses.